L’énergie vitale, en savoir plus…
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Corps et esprit indissolublement unis
Pour le docteur Samuel Hahnemann, le génial découvreur de l’homéopathie, l’être humain est un tout, corps et esprit indissolublement unis. Une force immatérielle anime cet ensemble : l’Énergie Vitale. Pour lui, la maladie (agression physique, infectieuse, morale…) entraîne un déséquilibre énergétique qui va lui-même produire des symptômes d’abord fonctionnels puis si on le laisse évoluer, lésionnels. Ce déséquilibre énergétique touche d’emblée la totalité de l’individu. L’être humain est un ensemble indivisible, corps et esprit sont constamment interdépendants.
Il n’y a pas de maladie physique sans symptômes psychiques de même qu’il n’y a pas de maladie psychique sans symptômes physiques.
Autrement dit, dans une maladie physique le médecin homéopathe va aussi s’intéresser à son retentissement psychique, à l’inverse, dans une maladie psychique, il va également rechercher son retentissement physique.
« Que ressentez-vous ? » est une question qui revient sans cesse, reliant le somatique et le psychique, tout ceci étant de plus mis en relation avec l’histoire personnelle du patient, en incluant ses antécédents familiaux.
« La force vitale qui anime dynamiquement la partie matérielle du corps exerce un pouvoir illimité. Elle entretient toutes les parties de l’organisme dans une admirable harmonie vitale, sous le rapport du sentiment et de l’activité, de manière que l’esprit doué de raison qui réside en nous peut librement employer ces instruments vivants et sains pour atteindre au but élevé de notre existence. » (Samuel Hahnemann : « l’Organon de la Médecine » 1810)
Le remède homéopathique, qui ne contient plus aucune molécule, ne contient pas « rien ».
…Il abrite une information, immatérielle, transportée par une onde électromagnétique de basse fréquence et de faible intensité. C’est cette information qui, se diffusant dans l’ensemble du corps, va corriger ce désordre énergétique, entraînant la guérison. Pour en savoir plus : Endler Bastide Thyroxine grenouilles en pièce-jointe.
Tout se passe comme si ce médicament envoyait à l’organisme une information ciblée entrant en résonance avec la perturbation de l’énergie vitale. Ce n’est pas le remède homéopathique qui effectue la guérison mais l’information qu’il transmet qui va mettre en route le processus de guérison.
Selon Hahnemann, la maladie est un processus dynamique, énergétique, de même que la guérison
La vertu des médicaments repose sur leur capacité à faire naître des symptômes semblables à ceux de la maladie à traiter. C’est la loi de similitude. Guérir passe par une réaction salutaire de l’individu malade au contact du remède qui est semblable à sa « maladie ».
On comprend dès lors la nécessité d’envoyer une information correspondant précisément à la maladie (dans le sens dynamique) en cours. Dans le cas contraire, il n’y a aucune réponse et le remède est inefficace. Si la précision de cette information est partielle, l’amélioration sera incomplète et n’intéressera qu’une partie de l’organisme.
On comprend également la nécessité de n’utiliser qu’un remède à la fois : arriveriez-vous à comprendre ce que vous disent trois personnes parlant en même temps ?