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Preuves scientifiques

apprendre l’homéopathie uniciste Chalon Dijon Macon Beaune

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Existe-t-il des preuves scientifiques de l’efficacité de l’homéopathie ?

Le docteur David Reilly a publié en 1986 dans le Lancet une étude en double aveugle contre placebo démontrant que le pollen 30CH était plus efficace que le placebo pour améliorer les symptômes du rhume des foins. Cette étude n’a jamais été démentie.

Conclusion du Dr Reilly :
« A quoi cela sert-il de faire de la recherche en homéopathie ? Il existe plus de 200 études démontrant l’activité des hautes dilutions, et l’on continue à prétendre qu’il n’existe aucune preuve ! »

Concernant ces études, il en existe deux sortes :

1 – Celles démontrant l’activité biologique des hautes dynamisations
Elles ont été réalisées dans des laboratoires universitaires, elles sont très nombreuses. Nous en avons sélectionné deux :

  • Effets de la thyroxine 30DH sur la métamorphose des grenouilles (étude en aveugle portant sur près de 3000 grenouilles)
    La thyroxine en 30DH (dilution au-delà du nombre d’Avogadro) inhibe la métamorphose des grenouilles (inversion de l’effet pharmacologique classique).
    Cette étude a été réalisée par Dr.Endler, médecin biologiste à l’université de Graz en Autriche.
    Pour en savoir plus

Ces résultats sont solides et reproductibles. Ils sont issus de 20 ans de recherche sur le sujet. L’expérience a été reproduite par des laboratoires indépendants en Autriche, en Suisse, en Allemagne et aux Pays-Bas :

  • Équipe du Dr Scherer-Pongratz, à l’institut pour l’Homéopathie Ludwig Boltzmann à Graz en Autriche
  • Chercheurs indépendants du département de Biologie cellulaire et moléculaire de l’université d’Utrecht au Pays-Bas
  • Chercheurs de l’institut fédéral d’investigation médicale vétérinaire à Graz en Autriche
  • Chercheurs de l’institut de zoologie à l’Université de Vienne en Autriche
  • Chercheur de l’université de Berne en Suisse (Instance collégiale des médecines complémentaires)
  • Chercheur de l’association pour les médecines naturelles en Allemagne

Lorsqu’une hypothèse est validée par une expérience qui est elle-même confirmée par une équipe indépendante, cela constitue une preuve scientifique.

« Devant les faits, la raison doit s’effacer » Claude Bernard


  • Travaux du Pr. Christian Doutremepuich sur l’effet thrombogène de l’aspirine en dynamisation homéopathique (Laboratoire d’Hématologie INSERM 88/13 Bordeaux) :
    L’aspirine, inhibitrice de l’agrégation plaquettaire à doses pharmacologiques, devient thrombogène en 15CH (dilution 10-30, largement au-delà du nombre d’Avogadro).
    Dans un modèle standardisé de thrombose induite par laser chez le rat, l’aspirine en dilution/dynamisation 15CH double le temps de coagulation et triple le nombre d’emboles par rapport au témoin (inversion de l’effet pharmacologique classique)
    Nombreuses publications dans des revues de référence (Thrombosis Research, Haemostasis…).
    Pour en savoir plus

  • Reprise par Pr Luc Montagnier des expériences de Jacques Benvéniste : la transduction de l’ADN du plasma d’un patient infecté par le virus du SIDA.

Pour en savoir plus : Montagnier 2011 J. Phys. Conf. Ser. 306 012007 en pièce jointe
Voir sur internet le film de C. Manil et L. Lichtenstein : « On a retrouvé la mémoire de l’eau »

Protocole :
– Dilution dans 1 volume de solution contenant les molécules d’ADN d’un patient infecté par le virus du SIDA à 9 volumes d’eau, 10 fois de suite. À partir de la D7 il n’y a plus de molécules d’ADN.
– Dynamisation par vortex des 10 tubes pendant 15 sec.
– Codage en double aveugle de 10 tubes placebo et de 10 tubes de la solution diluée
– Les 20 tubes sont placés sur un capteur qui enregistre les signaux électromagnétiques. 2 tubes sur les 20 émettent des signaux, les solutions D6 et D7.
– Les signaux électro-magnétiques de ces 2 tubes correspondant aux ondes émises par l’eau « instruite » par les molécules d’ADN du plasma du patient infecté par le virus du SIDA sont numérisés et enregistrés sur un fichier par un ordinateur ordinaire.
– Le fichier est envoyé en Italie par internet dans un laboratoire de biologie moléculaire mondialement réputé pour sa qualité. (Dr Vittorio Collantonni)
– Les ondes électro-magnétiques du tube de la D7 sont mises en contact pendant une heure avec un tube d’eau pure qui va « écouter la musique » de ce signal. (Pr Giuseppe Vitello Physicien)
– Un tube « kit » est préparé contenant tous les nucléotides nécessaires à la reconstitution d’une molécule d’ADN ainsi qu’une polymérase, agent catalyseur de la réaction (Technique de la PCR : réaction en chaine par la polymérase, utilisée dans la police scientifique pour identifier un ADN). Il ne se passe rien.
– On introduit une goutte de la solution aqueuse qui a « écouté » le signal électromagnétique émis par les molécules d’ADN initiales du plasma du patient infecté par le virus du SIDA, donc on n’apporte que le signal et aucun fragment d’ADN. La molécule d’ADN se reconstitue grâce à ce seul signal.
– On compare les 2 séquences d’ADN : l’initial et le reconstitué. Il est identique à 98%

L’expérience de Luc Montagnier a été confirmée par une équipe chinoise
qui a perfectionné son protocole et qui a réussi la transduction de trois ADN différents en apportant un soin extrême dans toutes les étapes du protocole, éliminant tous les facteurs de confusion qui auraient pu produire de faux-positifs.
Pour en savoir plus : tang 2018 Rate limiting factors for DNA transduction induced by weak electromagnetic field en pièce jointe

Commentaires :
– L’action possible d’une substance diluée au-delà du nombre d’Avogadro, donc ne contenant plus de molécule, ce que l’on savait déjà depuis plus de 40 ans grâce à de nombreuses recherches et expériences faites sur des animaux, des organes isolés, des tissus et même, des végétaux et des cellules isolées et bien sûr des résultats thérapeutiques de 8 générations d’homéopathes depuis Hahnemann.
– L’idée d’Hahnemann de dynamiser le remède en le secouant (ici automatiquement grâce au vortex)
– L’hypothèse d’un signal électromagnétique qui informe l’eau de nos granules
– Reste à expliquer comment ce signal informe l’eau des propriétés de la substance initiale. Les physiciens quantiques cherchent dans ce sens.


2 – Celles démontrant une efficacité clinique

« Méthodologie médiocre et biais de publication : cette synthèse a inclus 167 essais totalisant 28102 patients… Ces essais sont en général de qualité méthodologique médiocre, avec des incertitudes sur la qualité du tirage au sort et du maintien de l’aveugle, de nombreux perdus de vue et des données non rapportées… Du fait d’un biais de publication manifeste, il est très probable que ces essais surestiment l’efficacité de… »

De quoi parle-t-on ? De l’efficacité de l’homéopathie ? Non, c’est la revue « Prescrire » qui parle des études cliniques démontrant l’efficacité des neuroleptiques. Faudrait-il demander le déremboursement des neuroleptiques pour manque de preuves scientifiques démontrant leur efficacité ? Pour justifier le déremboursement des médicaments homéopathiques, les académies de médecine européennes se sont appuyées sur un rapport australien présidé par le Pr Peter Brooks, président du comité du NHMRC (National Health Medical & Research Council australien) et membre du groupe de pression anti-homéopathie Friends of Science in Medicine.

Ce rapport australien a reçu une diffusion internationale : « l’homéopathie est un placebo ».

Que disait-il au départ, ce rapport ?

« Il existe des preuves encourageantes de l’efficacité de l’homéopathie dans la fibromyalgie, l’otite moyenne, l’obstruction intestinale postopératoire, les infections respiratoires, mais aussi et surtout la prise en charge des effets secondaires des traitements contre le cancer ».

Cette conclusion favorable à l’homéopathie, n’a jamais été publiée !

Et pour cause : elle était bien sûr inacceptable par le Pr Peter Brooks. Sans la moindre raison scientifique et sur des critères choisis à posteriori pour discréditer l’homéopathie toutes les études comportant moins de 150 participants (soit 171 essais) ont été écartées pour ne garder que les celles défavorables à l’homéopathie.

À la suite d’une plainte des différentes fédérations homéopathiques, le gouvernement australien a officiellement discrédité cette étude partiale. Face aux preuves accumulées, le NHMRC a fait son mea culpa par la voix de sa directrice générale, la Professeure Anne Kelso, qui a reconnu que :
« contrairement à certaines affirmations, l’examen n’a pas conclu à l’inefficacité de l’homéopathie ».

Un rectificatif qui a mis 4 années à être réalisé !

Autant ce rapport a inondé la presse internationale lors de sa parution, autant son désaveu officiel par le gouvernement australien est resté des plus confidentiels. Imagine-t-on confier une méta-analyse sur l’efficacité des vaccinations à un comité ne comportant aucun infectiologue et présidé par un anti-vax notoire ?

Voici une étude répondant à toutes les exigences d’une étude scientifique de qualité :

Efficacité de l’homéopathie utilisée en complément du traitement conventionnel sur la qualité de vie et la survie de patients présentant un cancer du poumon non à petites cellules stade IV : étude en double aveugle contre placebo + groupe contrôle.

Les options thérapeutiques sont extrêmement limitées chez les patients souffrant d’un cancer du poumon non à petites cellules à un stade avancé.

Question : l’homéopathie utilisée en complément des traitements classiques peut-elle améliorer la qualité de vie et la survie de ces patients ?

Méthode : étude multicentrique portant sur 150 patients :

• 98 reçoivent soit un traitement homéopathique individualisé (51) soit un placebo (47) en double-aveugle.

• 52 patients ne reçoivent que le traitement conventionnel et constituent un groupe contrôle observé uniquement pour la survie.

Résultat :

  • Qualité de vie significativement améliorée chez les patients traités par homéopathie à 9 et 18 semaines (mesure sur échelle standardisée) P < .001.
  • Survie médiane :
    – Homéopathie : 425 jours.
    – Placebo : 257 jours (P = .010). – Contrôle : 228 jours (P ˃ .001).

Conclusion : le traitement homéopathique individualisé améliore significativement la qualité de vie et la survie des patients présentant un cancer du poumon non à petites cellules à un stade avancé.

>Pour en savoir plus

3 – Comment convaincre la communauté scientifique ?

Pour la communauté scientifique, l’efficacité de médicaments ne contenant plus de molécules est inconcevable et toute étude démontrant le contraire ne pourrait provenir que d’une fraude ou d’une erreur.

Est-il possible de changer d’avis ? Voici l’histoire du Pr Jean-Claude Cazin, doyen de la faculté de pharmacie de Lille.

Scandalisé par la publication d’une étude réalisée par le laboratoire Boiron démontrant l’efficacité du remède Arsenicum album 9CH sur des rats empoisonnés par l’arsenic, il décide de refaire l’expérience dans son propre laboratoire pour confondre les auteurs de l’étude.


Le protocole est le suivant : on donne à un groupe de rats une dose mortelle d’arsenic, puis la moitié des rats reçoit Arsenicum 9CH (Etude en aveugle). Quelques temps plus tard, la personne qui avait réalisé le protocole vient expliquer au Pr Cazin qu’après avoir refait l’expérimentation plusieurs fois, les seuls rats survivants étaient ceux qui avaient reçu le remède homéopathique. Inconcevable ! Une seule explication : Boiron a soudoyé son laborantin ! Il décide alors de faire recommencer l’expérience par son chef de laboratoire en lequel il a entièrement confiance. La conclusion est identique : seuls survivent les rats traités par Arsenicum.

Toujours incrédule, le Pr Cazin décide de réaliser lui-même les expériences, mais là encore seuls les rats ayant reçu le remède homéopathique survivent. Inconcevable encore une fois… mais il y a peut-être une explication : Boiron pénètre la nuit dans son laboratoire pour changer les rats. Il décide de changer la serrure du local, la gardant sur lui nuit et jour… Impossible de nier l’évidence : les seuls rats survivants sont ceux qui ont été traités par Arsenicum album.

Les honnêtes hommes existent : le Pr Cazin a publié son étude qui confirmait celle de Boiron (Cazin J., Cazin M., Gaborit J., Chaoui A., Boiron J., Belon P., Cherruault Y., Papapanayotou C. (1987). A study of the effect of decimal and centesimal dilutions of arsenic on the retention and mobilization of arsenic in the rat. Human Toxicology, (6), 315-320).

À la suite de cette publication, il a ouvert la faculté de Pharmacie de Lille à l’homéopathie. C’était une première. Après la publication du rapport australien et du discrédit médiatique de l’homéopathie, c’est la faculté de Lille qui a été la première à interdire l’enseignement de l’homéopathie. Ainsi va la « vérité » scientifique.


En résumé, la médecine allopathique et la médecine homéopathique raisonnent selon deux paradigmes différents :
      • Le moléculaire pondéral
      • Le rayonnement électro-magnétique support d’une information

Deux paradigmes dont les points de vue sont autant distincts que la théorie qui sous-tend la physique newtonienne et celle qui sous-tend la physique quantique. Les deux sont également vérifiables.

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